Semaine Z.

Je vous prépare une petite semaine spéciale!

J’aborderai un thème unique pendant les cinq prochains jours : à savoir les zombies.

Revenu d’entre les morts l’année dernière pour devenir le sujet « hype » du moment (films, livres, jeux-vidéos, bande-dessinées et j’en passe), nos cadavres ambulants sont une source d’inspiration fantastique (dans les deux sens du terme).

En effet, ce retour au surnaturel a tout pour plaire. D’abord initié par la littérature, les morts-vivants romantiques firent face (on remerciera Thriller) à de nouveaux protagonistes moins charmants et plutôt malodorants.

Les origines de ces morts quittant leurs tombes pour se nourrir de chair humaine se retrouvent en Haïti. Un rite vaudou et une poudre magique permettraient de relever les morts récents et de les commander. Hollywood passe par-là et ces esclaves morbides se transforment en cadavres titubant péniblement dans les ruelles des villes américaines pour trouver des juteux cerveaux (on notera leurs cris de désespoir causés par le manque de gros cerveaux dans la population moyenne américaine).

Comme pour les vampires, il n’existe pas de spécificités précises sur les zombies. Il s’agit de cadavres frais revenus à la vie pour une raison quelconque (une expérience militaire ou scientifique, la magie, ou inconnue) et qui se répandent parmi les vivants pour assouvir une pulsion primaire : se nourrir. Ceux-ci ne pouvaient que marcher lentement mais les dernières versions les dotent de capacités humaines de course et d’escalade. La seule manière de les arrêter est pratiquement connue de tous (sauf des survivants qui les affrontent) : détruire le cerveau, le plus facilement par une balle dans la tête. Mais attention à viser juste, car une morsure vous conduira directement à la case mutation en mort-vivant.